À la rencontre de… Rafaël Quessada

Directeur de campagne de Bryan Masson, candidat à la mairie de Saint-Laurent-du-Var soutenu par le Rassemblement National

En quelques mots, pourriez-vous préalablement vous présenter ?

Je m’appelle Rafael Quessada étudiant et collaborateur de groupe d’élus je suis directeur de campagne de Bryan Masson pour les élections municipales de Saint-Laurent-du-Var. J’ai 20 ans, et je suis engagé en politique depuis que j’ai 14 ans, d’abord au Front National puis au Rassemblement National.

Vous êtes directeur de campagne de Bryan Masson à Saint-Laurent-du-Var, pouvez-vous nous expliquer votre rôle ? 

Mon rôle est essentiellement celui d’un coordinateur. Autrement dit, je dois autant que faire ce peut soulager le candidat de ses tâches en en prenant la responsabilité et en coordonnant les actions, les faire correspondre à un agenda, entretenir des relations avec la presse, et organiser les actions de militantisme.

J’occupe aussi le rôle de conseiller spécial du candidat en tant que directeur de campagne, conseiller en communication, et en stratégie électorale. 

Quelles sont les motivations qui vous ont poussé à vous engager ?

Mon intérêt pour la chose publique remonte à l’élection présidentielle de 2012 pendant laquelle j’ai tout de suite adhéré au discours de Marine Le Pen, qui m’à véritablement fait croire en l’existence d’une alternative au système actuel qui, je crois est sclérosé.

Mais aussi les enjeux face auxquels nous nous trouvons : immigration massive – fondamentalisme islamiste – crise économique – crise de la représentativité.

Être jeune dans une campagne électorale, avantage ou frein ?

Ma jeunesse est une véritable arme. Elle s’accompagne d’une volonté et d’un dynamisme important. Et même d’une certaine fougue.

Je pense que les gens ont ce besoin de renverser la table et de balayer les momies de la politique. Le vote RN c’est un peu ça, Jordan Bardella en est la preuve, Marion Maréchal en est la preuve, Julien Sanchez en est la preuve, David Rachline en est la preuve, Ludovic Pageot aussi. La Rassemblement National et Front National a l’époque a toujours laissé leur place aux jeunes.

Pensez-vous que les élections municipales de 2020 seront celles de la jeunesse ? 

Pour notre formation politique oui certainement. Les autres, malgré leurs discours reprennent les mêmes et font du recyclage. Je pense que nous ferons élire beaucoup de jeunes maires, volontaires et désireux d’incarner l’alternative. Nos jeunes maires actuels ont réussi à satisfaire leurs administrés.

Comment ressentez-vous le lien entre jeunesse et politique dans ces élections locales ? Comment amener les jeunes à s’y engager davantage ?

Je pense que la jeunesse est moins engagée dans des élections locales qu’elle ne l’est dans des élections nationales. Et ça me désole. Mais la seule solution pour les faire s’intéresser c’est la proximité. On doit aller à la rencontre des gens, leur parler, leur expliquer les enjeux et l’importance d’une élection locale. Il faut aussi aborder leurs thèmes ! Dynamisme de la ville, transports et culture par exemple. Ils doivent se reconnaître dans un programme, et je pense qu’ils peuvent se reconnaître dans le nôtre.

Curieux de découvrir d’autres portraits de jeunes engagés ?

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