Quelles sont les motivations qui vous ont poussé à vous engager ?

Je me suis engagé dans cette campagne car je connaissais le candidat, j’ai voulu lui apporter mon aide. Puis je suis un habitué des campagnes électorales depuis 2007. Je souhaitais vivre une expérience humaine de l’intérieur.  

Être jeune dans une campagne électorale, avantage ou frein ?

Être jeune est plutôt un avantage car on apporte des idées nouvelles, avec une autre vision. Cela permet d’essayer de se faire porte-parole d’une partie de la cité. Il y aussi la possibilité d’apprendre à mener une campagne et de commencer en politique. Le seule problème qu’il faut surmonter est de mener une élection en même temps que ses études.  

Pensez-vous que les élections municipales de 2020 seront celles de la jeunesse ?

Elle devrait toutes l’être car la jeunesse doit et devrait s’engager de plus en plus en politique. En conséquence de l’engagement des jeunes sur des sujets comme l’écologie, on peut supposer qu’il devrait y avoir des maires et certainement de élus de moins de 30 ans.  

Comment ressentez-vous le lien entre jeunesse et politique dans ces élections locales ? Comment amener les jeunes à s’y engager davantage 

On sent pour ces élections un engouement de la jeunesse. On pourrait les inciter leur disant qu’ils ont une place à part entière, leur parler des sujets qui les concernent.