Je suis engagé pour les élections municipales de Saint-Quentin en tant que militant pour soutenir Frédérique Macarez. Je suis responsable de l’affichage sur les panneaux libres. Mon rôle, avec toute l’équipe militante, sera d’allez défendre le programme présenté par notre candidate et défendre son bilan, à travers des opérations collages, tractages, boitages, porte à porte, et réunions diverses.

Quelles sont les motivations qui vous ont poussé à vous engager ?

Quand j’étais plus petit, je regardais les discours des élus à la télévision, notamment Jacques Chirac. Je devais être l’un des seuls élèves à regarder les Questions aux gouvernement. Ce qui m’intéressait était de voir Xavier Bertrand. Je l’ai toujours admiré. Il a un parler-vrai et n’adapte pas son discours en fonction du public qu’il a devant lui. Il à toujours eu à coeur l’intérêt général. Il à la même ligne directrice depuis des années et ne change pas au grès du vent. Je me suis dit que ,malgré tout ce que j’entendais “les politiques sont tous les mêmes…”, lui était différent. J’ai eu envie de m’engager à ses côtés en 2013.

Être jeune dans une campagne électorale, avantage ou frein ?

Être jeune dans une campagne électorale est un avantage, pour aller parler aux autres jeunes avant tout, et surtout pour montrer qu’il existe encore des jeunes qui s’intéressent à la politique.

Pensez-vous que les élections municipales de 2020 seront celles de la jeunesse ?

Oui les prochaines échéances municipales doivent être celles de la jeunesse. A Saint-Quentin notre candidate l’a bien compris. Il y a quelques années un questionnaire avait était distribué aux jeunes de la ville, qui avait était conçu par des jeunes dont je faisait parti, pour savoir ce que la jeunesse Saint-Quentinoise voulait. C’est la meilleur façon de répondre correctement à leurs attentes.

Comment ressentez-vous le lien entre jeunesse et politique dans ces élections locales ? Comment amener les jeunes à s’y engager davantage ?

Les jeunes doivent tenir une place importante dans ses élections. A Saint-Quentin nous sommes une équipe d’une vingtaine de jeunes. C’est là notre force, en montrant que des jeunes sont là, les jeunes ont envie de s’investir. Il y a un véritable regain d’intérêt pour la politique chez les jeunes. Si nous voulons ré-intéresser les jeunes à la politique il faut tout d’abord que cela passe par les élections locales.