À la rencontre de… Elie Revah

Président des Jeunes avec Xavier Bertrand

Peux-tu, en guise dintroduction, te présenter ?

Je m’appelle Elie, j’ai 29 ans et j’habite à Paris. J’ai fait des études de droit ainsi qu’une école de commerce. Je suis aujourd’hui Président des Jeunes avec Xavier Bertrand

À quel âge et pourquoi tes-tu engagé en politique ? Y a-t-il eu un évènement déclencheur ? Pourquoi continues-tu d’être aujourdhui engagé en politique ?

Je me suis engagé en politique directement auprès de Xavier Bertrand, en 2012. Je suis petit-fils d’immigrés et de déportés. La France a accueilli ma famille et a permis à mes grands-parents de s’y installer, de faire des études et de construire leur vie. Je voulais rendre à la France tout ce qu’elle avait apporté à ma famille. Aujourd’hui, je suis toujours motivé par les mêmes raisons et j’ai évidemment envie de mettre mes idées au service des Français. 

Tu es donc engagé auprès de Xavier Bertrand. Pourquoi ce choix dengagement ?

Je me suis engagé auprès de lui en 2012. J’ai été séduit par l’homme et par les idées. Il vient de la société civile, il a un parcours différent. C’est un élu de terrain, engagé pour les Français, qui a toujours combattu le Front National. En 2012, il portait déjà des idées auxquelles je crois encore aujourd’hui : refonder et développer la valeur travail, instaurer un mandat unique pour le Président de la République.

Tu es dailleurs président des Jeunes avec Xavier Bertrand, peux-tu nous expliquer en quoi consiste ta fonction ?

Rassembler, travailler et coordonner. Rassembler l’ensemble des jeunes qui ont compris que le duel Emmanuel Macron – Marine Le Pen était nocif pour la France et qui ont envie de s’engager. Travailler avec ces jeunes afin de faire remonter leurs idées et de nourrir le futur programme présidentiel de Xavier Bertrand. Et enfin, coordonner leur action et leur mobilisation sur le terrain. Je suis intimement persuadé que Xavier Bertrand est le mieux placé pour porter les aspirations de la jeunesse. Il connait la jeunesse, et la côtoie tous les jours depuis des années.

Quelles sont les valeurs, enjeux et batailles qui te tiennent à cœur et que tu défends à travers ton engagement ?

J’ai plusieurs valeurs cardinales. Le travail et le mérite bien sûr. C’est le cœur du modèle de société auquel je suis profondément attaché. J’ai également à cœur de défendre la laïcité, aujourd’hui plus que jamais. Elle est un de nos piliers et ne peut être remise en cause. Enfin, la solidarité. Le modèle français est un modèle qui ne laisse personne sur le bord de la route.

Comment perçois-tu la relation entre jeunesse et politique à lheure actuelle ?

La relation est dégradée. Il y a une perte de confiance. Les jeunes ont l’impression d’avoir été oubliés, sacrifiés. Les politiques doivent avoir une vision pour la jeunesse ! Mais n’oublions pas que la jeunesse est variée, diverse. A 16 et 25 ans, vous n’avez pas les mêmes aspirations, les mêmes difficultés, les mêmes envies. Il faut être capable de parler à ces jeunesses différentes.

Que répondrais-tu aux jeunes qui considèrent que « ça ne sert à rien de sengager » ?

Que c’est évidemment faux ! Je combats tous les jours cette idée. Il n’y a pas besoin d’être Président de la République pour avoir un impact concret sur la société. Il faut s’engager et passer à l’action. Que ce soit dans un parti politique, dans une association ou même au sein simplement de sa fac ou de son entreprise, les moyens de peser sont nombreux. 

Propos recueillis par Léna Van Nieuwenhuyse.

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